Un commissaire-priseur et un témoin d’expert d’enchères de confiance. Il possède une connaissance inégalée du droit de la vente aux enchères et de la pratique coutumière.

Vous souhaitez devenir un commissaire-priseur professionnel ?

Certains disent que pour gagner leur vie, un commissaire-priseur doit déformer, falsifier, déformer et / ou mentir aux soumissionnaires. Mais, est-ce que ce genre de commissaires-priseurs est un repaire ? Est-ce que pour être un commissaire-priseur « professionnel », il faut mentir ? Non. De plus, je crois fermement qu’un commissaire-priseur, doit être honnête, éthique et sincère avec les vendeurs, enchérisseurs et acheteurs. Si, en tant que commissaire-priseur, vous estimez que vous devez accepter des offres absentes, fausser leur représentation et / ou mentir aux enchérisseurs, sachez qu’il existe de nombreuses conséquences graves bien au-delà des enchérisseurs ne participant pas à vos enchères la prochaine fois.

La confiance

Je l’ai souvent entendu dire au cours de ma carrière : « la confiance est le stock d’un commerçant ». La confiance est l’atout le plus précieux d’un commissaire-priseur, la confiance en fait un commissaire-priseur… et de nombreuses autres personnes et métiers. La définition particulière de la confiance à laquelle je fais référence est encore plus « confiance en soi » :

« Un sentiment de confiance en soi découlant de l’appréciation de ses propres capacités ou qualités. »

Les commissaires-priseurs ne sont pas des joueurs de football et une vente aux enchères n’est pas censée être un jeu à gagner ou à perdre. Cependant, si une vente à l’enchère est correctement qualifiée, commercialisée et conduite, un commissaire-priseur aurait toutes les raisons d’être confiant dans le processus et les résultats. Je pense effectivement que les acheteurs et les vendeurs sont attirés par des commissaires-priseurs confiants. Des vendeurs comme ceux-ci sont convaincus que la vente aux enchères sera couronnée de succès et convaincante. Les enchérisseurs / acheteurs apprécient que le commissaire-priseur soit décisif et en contrôle. J’ai eu l’honneur de rencontrer Marc-Arthur Kohn durant une séance de vente en ligne à Paris, et j’ai été surpris par sa qualité de gérer la vente.

L’arrogance

Bien sûr, la confiance peut mener à l’arrogance, que l’on appelle habituellement une attitude offensive de supériorité. Il ne me semble pas que l’arrogance soit une qualité souhaitée chez un commissaire-priseur, car cela aurait tendance à dissuader les vendeurs et les acheteurs.

Les commissaires-priseurs et la nouvelle technologie

Les commissaires-priseurs communiquent leurs données (en particulier les données relatives aux acheteurs, mais également aux données relatives aux vendeurs) sur des plateformes en ligne : sur leurs sites ou même sur le site de la maison de vente, dans la mesure où ils sont associés.

Les commissaires-priseurs pourraient-ils créer et maintenir collectivement leur propre plate-forme ? Les commissaires-priseurs pourraient-ils autrement s’associer à une plate-forme existante pour garantir leur avis sur l’avenir de cette plate-forme ? Peut-être qu’il y a d’autres options.

Il convient de mentionner que ces plates-formes en ligne largement traîtres peuvent gérer leurs modèles comme ils le souhaitent, et ils le font. Les commissaires-priseurs peuvent-ils faire confiance à n’importe quelle plate-forme en ligne ? Pour certains, il est évident que les expériences passées les dictent. Pour d’autres, non ils ne sont pas encore intéressés par cette nouvelle tendance.