Les médias français et le rap, ça coince, mais où ?

Le rap pour ne pas dire le hip-hop a trouvé une place importante dans la culture française. Si on constate un pseudo malentendu entre le public et le rap, cela est dû à la mauvaise influence des médias. Cette mauvaise influence des médias français rend difficile la relation avec le rap.

Allons découvrir ce qui cause cette mauvaise relation entre les médias et le rap.

La maltraitance des médias français

Il faut dire que l’histoire entre les médias et le rap est très compliquée. C’est une histoire où les rappeurs sont à la fois approuvés par les médias mais pas vraiment. Selon ces derniers, les rappeurs sont intéressants, mais selon certains critères.

Il faut dire qu’entre certains artistes, il n’y a pas le respect mutuel, ce qui provoque une guerre entre les parties. Selon les artistes rappeurs, c’est une culture qui leur permet de se respecter, mais que les journaux n’arrivent pas à comprendre. Cette culture est vue par les médias comme du sensationnalisme, ce qui représente une production artistique dans le domaine du hip-hop.

Les médias utilisent tous les moyens pour montrer l’impact négatif que la rap laisse dans la vie des jeunes. Ce mode de vie corrompt la vie des jeunes qui se laisse impressionner par cette manière de vivre. Cela laisse une mauvaise trace dans la civilité des jeunes qui ont une facilité à copier ce qui leur est proposé.

Il suffit de regarder comment son reçu des artistes de la nouvelle génération comme Vlad sur le plateau de Salut les Terriens de Thierry Ardisson. Une déconnexion totale.

https://www.youtube.com/watch?v=_uCYeC_o-OY

Nous pouvons encore enchainer avec Orelsan lors de la présentation de son film.

https://www.youtube.com/watch?v=kBQyha4jc6U

Selon les rappeurs, le rap est un art pour communiquer et non pour faire du mal, pourtant c’est le contraire qui est constaté depuis même la souche et qui impacte maintenant la sensibilité des jeunes.

Le mépris des médias

Éric Zemmour en 2008 avait lancé une bombe dans l’autre camp en disant que le rap est une sous culture d’analphabètes. Les médias pensent que la plus grande partie des rappeurs de la France n’ont pas de poids. Mais il faut dire que le rap est le genre de musique qui est plus écouté dans le pays et qu’un nombre important de journalistes se frottent à cette musique.

Selon les médias, les artistes rappeurs eux-mêmes leur bas niveau en postant sur les réseaux sociaux des phrases bourrées de fautes d’orthographe. Le rappeur Jul avait confirmé cette pensée lorsqu’il était sorti de la garde à vue et voulait adresser un mot à ses fans. Dans son message, ce qui avait plus marqué les auditeurs était la conclusion où il avait écrit « je tenez à mescusez ». Désolé pour ces fans mais il est la représentation de cette catégorie de rappeur que les médias prenne en exemple alors qu’ils ne sont qu’une minorité de cette sorte.

Le rapport corsé entre les médias français et le rap laisse des cicatrices qui ne sont pas faciles à oublier et qui ne font pas qu’améliorer le contact entre les générations comme le rappel saintpaulmagazine.com. Le mépris des médias vise à corriger la tendance qu’on retrouve chez les rappeurs français qui se livrent à toutes sortes de choses vaniteuses et qui impactent la société.